ANI – L’Observatoire européen pour l'intégrité au Liban" a indiqué que "la loi sur le contrôle des capitaux s'est fait attendre depuis longtemps, et aurait dû être votée dans les quelques jours suivant le début de la crise au Liban, c'est-à-dire après le 17 octobre 2019, lorsque les banques ont fermé leurs portes et l’énormité de la fuite des capitaux du Liban, c'est-à-dire que des milliards ont été transférés hors du pays, comme c'est le cas en Grèce et à Chypre.
Il a expliqué dans un communiqué que « selon le texte de la loi sur le contrôle des capitaux prive les déposants de leurs droits les plus élémentaires».
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