ANI - 12/2/2014 -
AL MUSTAQBAL:
Le reniement de la rotation de la part du 8 Mars est à la base de l'entrave
Les efforts de la formation ...au congélateur
AS-SAFIR:
Washington et Paris s'attachent au calme au Liban
Rahi fulmine un interdit sur le "gouvernement de crise"
ANNAHAR:
Réunion décisive aujourd'hui entre Sleiman et Salam
Rahi met en garde et Aoun n'a pas encore dit son mot
L'ORIENT LE JOUR:
Derrière la crise gouvernementale, les craintes d'un vide présidentiel
Raï: Un gouvernement pour deux mois ne mérite pas tellement de manoeuvres
Geagea prend les prélats maronites au mot
Aucun progrès n'a été enregistré hier concernant la formation du cabinet Salam, même si certaines sources autorisées affirment que la dynamique du gouvernement n'a pas été gelée, mais qu'elle s'est juste éloignée des médias. D'autres estiment en outre que Fouad Siniora serait revenu d'Arabie saoudite avec un nouveau nom de candidat que son bloc proposerait pour le portefeuille de l'Intérieur, après sa réunion avec Saad Hariri.
Pendant ce temps, les différentes parties campent toujours sur leurs positions de principe, qu'ils ne cessent de répéter. Sur ce plan, le député Samir Jisr a indiqué qu' « une certaine partie accapare le processus gouvernemental et désire que la crise se transmette à l'élection présidentielle , soulignant que « la rotation des portefeuilles doit s'appliquer à tout le monde sans aucune exception
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De son côté, le député Jean Oghassabian a affirmé qu'« aucune décision iranienne pour la mise en place du gouvernement libanais n'a été prise
« L'Iran a ordonné au Hezbollah de geler la situation au Liban, a-t-il estimé, affirmant que l'attachement de Michel Aoun au portefeuille de l'ةnergie et de l'Eau n'est qu'un prétexte pour bloquer le processus gouvernemental et que « le Hezbollah est derrière les conditions imposées par les aounistes en vue d'entraver la formation d'un cabinet rassembleur .
M. Oghassabian a enfin réclamé au président de la République et au Premier ministre désigné de mettre en place un gouvernement neutre afin d'éviter le vide au pouvoir. Des affirmations reprises par le député Mohammad Hajjar qui a estimé que « les menaces du Hezbollah étaient derrière le blocage du processus gouvernemental, poussant le général Aoun à protester et à recycler ses excuses concernant le pacte national et la marginalisation des chrétiens
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======E.N.G