ANI - Le ministre sortant de l'Information, Walid Daouk, a exprimé, ce mardi, sa profonde peine "devant la réalité de la situation sécuritaire du pays, que ce soit à Tripoli ou à travers les voitures piégées qui circulent dans les régions libanaises et font d'innocentes victimes"



Il a estimé que l'objectif de l'attentat qui a secoué Haret Hreik, dans la matinée, était de semer la zizanie et d'entraîner les Libanais dans des conflits communautaires et sectaires, alors que ces derniers s'attendaient à la naissance prochaine d'un gouvernement qui permettrait le rétablissement de la stabilité et la sécurité.



"La dénonciation ne suffit plus devant ce cycle infernal [d'attentats] dont le but est de pousser les Libanais à s'entretuer", a-t-il dit, signalant que la majorité d'entre eux refusait le conflit et croient toujours que le pays ne pourra être édifié que par ses institutions légitimes, l'union nationale et la solidarité.



M. Daouk a enfin présenté ses condoléances aux familles des martyrs, souhaitant aux blessés un prompt rétablissement et, au pays, la fin de l'impasse.



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